As-tu déjà entendu parlé de Max Jones ? C'est un aspirant journaliste américain qui a une particularité : son âge, puisqu'il n'a que 15 ans. Il est l'auteur d'un blog depuis l'âge de 12 ans, qui est assez original puisqu'il diffuse des actualités sur le monde... uniquement positives.

Chez lui, l'ouragan Sandy est traité sous l'angle des initiatives charitables qui l'ont suivi. Les maladies sous l'angle des campagnes de vaccination. Les investissements mis en avant concernent les énergies renouvelables.

Original dans le monde de l'information, non ? Je suis assez atterré par les horreurs qu'on nous assène à longueur de journée. Bien entendu, tout n'est pas rose, des tonnes d'informations graves méritent que nous les connaissions, mais tout de même : quid des initiatives positives ? Des entreprises qui embauchent ? Des projets positifs qui réussissent ? N'y a-t-il que les catastrophes, des conflits, des crises... à retenir chaque jour ?

Imaginer le monde avec une perspective positive

Fleurs

Nous sommes d'accord : certaines difficultés peuvent véritablement influencer notre façon d'imaginer nos vie. Notamment lorsqu'elles affectent notre santé et celle de nos proches (une grosse pensée pour l'ami Thierry en passant).

Nous ne pouvons par non plus oublier totalement les réalités. Fermer les yeux et ne pas prendre nos responsabilités.

Mais vivre tous les jours avec la peur que nous assène sans cesse les médias ne nous aide pas à aller de l'avant et à essayer d'améliorer les choses. Les initiatives positives ne viennent pas de ceux qui se lamentent sur la misère du monde. Mais de ceux qui ont conscience de la réalité des choses, et qui ont imaginé ce qu'ils pourraient faire pour les améliorer.

Mettre de côté les petits tracas quotidiens

Amis

Nous avons souvent tendance à nous faire des noeuds à l'estomac sans véritable raison. Petite mise en situation pour voir si cela te dit quelque chose :

Un vendredi soir, première soirée du week-end qui commence autour d'un verre avec des amis. L'un d'entre eux n'a pas l'air dans son assiette :
"- Comment ça va toi ? On ne t'entend pas ce soir..."

"- Bof, j'avais passé une sale nuit hier, du coup de mauvaise humeur ce matin me suis salement fâché avec mon boss. J'ai été très sec, je me demande si je ne suis pas allé un peu trop loin..."
"- Tu as réfléchi à ce que tu allais faire pour rattraper le coup ?"
"- Ouais, je vais aller le voir dès lundi matin pour lui expliquer et m'excuser, et on verra bien..."

Tu vois où je veux en venir ? La question est : "Puisque tu ne peux plus rien changer dans l'immédiat, pourquoi s'encombrer l'esprit avec ces pensées négatives ? Tu vas rester de mauvaise humeur tout le week-end et perdre l'occasion de profiter de tes amis et de tes jours de repos. Et pire, tu risques de mal dormir et d'arriver à nouveau fatigué et de mauvaise humeur le jour J."

Laisser de côté ces tracas quotidiens lorsque l'on n'a rien à faire dans l'immédiat pour les solutionner. Facile à dire ? Le tout est d'abord de prendre conscience de ces moments, d'analyser s'il y a quelque chose à faire pour le moment, et si la réponse est non, de se forcer à les sortir de sa tête.

90 % de notre bonheur à long terme n'est pas influencé par notre environnement, mais par la façon dont notre cerveau le perçoit.

Allez, on essaye ça la prochaine fois ?

 


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